La filière munitions française s’est structurée autour d’une logique de flux pour limiter les coûts de structure et maintenir les savoir-faire de la base industrielle et technologique de défense (BITD).
Elle doit désormais se combiner à une logique de stock capable de donner aux armées les moyens de faire face au choc de la haute intensité.
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SourceIFRI.org